Parendel’Handi A l’épreuve du Handicap
« Parcours de parentalité et norme inclusive »
Vendredi 25 novembre 2022 13h30-18h30, Université Lumière Lyon 2, Campus Porte des Alpes, Amphi H2
Gratuit sur inscription https://etudeappi.sciencesconf.org/
« Parcours de parentalité et norme inclusive »
Vendredi 25 novembre 2022 13h30-18h30, Université Lumière Lyon 2, Campus Porte des Alpes, Amphi H2
Gratuit sur inscription https://etudeappi.sciencesconf.org/
Le laboratoire DIPHE est impliqué dans l’organisation de deux événements en partenariat avec la MSH ALPES
CYCLE DE CONFÉRENCES / MSH-ALPES
2022/2023 • 12h30/13h30
www.msh-alpes.fr/science-tous/fil-good
et dans la JOURNEE DE L’INNOVATION EN PROMOTION de la santé mentale et relationnelle
Reportage photo de CNRS Images sur les travaux de recherche et de co-conception d’outils multisensoriels à destination des personnes en situation de handicap visuel?
Retrouver le reportage ici
Crédits de la photo : © Cyril FRESILLON / SMAS / DIPHE / Les Doigts Qui Rêvent / CNRS Photothèque
Stimuler l’envie d’apprendre : N. Dangouloff, R. Shankland, D. TessierCollection :
Il y a 20 ans déjà, le Grand Débat sur l’école (initié en 2003 par Luc Ferry, le Ministre de l’Éducation Nationale de l’époque) avait révélé que la motivation représentait la première préoccupation des enseignants et des parents. Aujourd’hui, cette préoccupation semble renforcée. Une large littérature scientifique montre en effet que la motivation scolaire décline fortement au moment des transitions scolaires. Cette tendance générale s’observe dans tous les pays industrialisés, mais les enquêtes portant sur les systèmes éducatifs révèlent des différences importantes entre les pays de l’OCDE en ce qui concerne les indicateurs de motivation. Ces enquêtes tendent à montrer que la France occupe une position singulière, tout en bas de l’échelle. par rapport aux élèves des pays de niveau économique comparable, les élèves français rapportent un niveau d’anxiété plus élevé, et des indices de confiance en soi et de persévérance plus faibles. Dans ce contexte, les enseignants font leur possible pour engager les élèves dans les apprentissages, mais les questions sur les raisons susceptibles d’expliquer les comportements « démotivés » des élèves demeurent. Afin de proposer aux enseignants des pistes concrètes, cet ouvrage propose une analyse des processus motivationnels en s’appuyant sur la théorie de l’autodétermination. De nombreux exemples de modalités pédagogiques contextualisées sont également proposés pour illustrer et préciser les leviers de la motivation.
Développer les compétences émotionnelles : I. Kotsou, J. Farnier, R. Shankland, M. Mikolajczak, J. Quoidbach, C. Leys
Les émotions sont des éléments clefs de notre bien-être tout comme elles peuvent être impliquées dans des problèmes de santé mentale importants (dépression, troubles anxieux…). Les demandes de thérapie ou d’accompagnement sont presque toujours en lien avec la présence d’émotions difficiles : tristesse, impuissance, déception, anxiété, solitude, colère, culpabilité, jalousie… Cet ouvrage est une carte routière au pays des émotions qui présente un programme dont l’objectif est de favoriser un changement positif durable dans la manière de réagir aux évènements émotionnels, pour mieux vivre avec soi-même et avec les autres. Le programme DCE (Développer les Compétences Émotionnelles) a été développé par une équipe de chercheurs en psychologie spécialisés dans le domaine des émotions. Il fournit aux praticiens une grille de lecture des compétences émotionnelles et des outils concrets pour les développer en prévention et dans l’accompagnement de personnes en difficulté. Un programme complet sous la forme d’un parcours en 8 séances, qui a fait l’objet de plusieurs recherches et qui est en libre accès pour les professionnels.
C’est avec un grand honneur que nous annonçons la nomination de Rebecca Shankland, PR en psychologie du développement au Laboratoire Diphe à l’Institut Universitaire de France (IUF) en reconnaissance de la qualité de son travail scientifique et de son projet de recherche.
Le laboratoire DIPHE participe à la coordination de la journée : Guillaume Tachon, doctorant au Laboratoire DIPHE (Université Lyon 2) et Rebecca Shankland, Professeure de psychologie, Université Lumière Lyon 2, Responsable du DU de Psychologie Positive (UGA).
Plus d’info ici
Le Pr Rebecca Shankland (UR-DIPHE) intervient dans le cadre des conférences organisées par les « Archives Jean Piaget » de l’université de Genève sur le thème « Développer la santé mentale :
Apports des recherches sur la pleine conscience »
Approches innovantes en prévention et dans l’accompagnement
Rebecca Shankland (UR-DIPHE) et Clémence Gayet, Nadine Richeux Ed. Elsevier Masson
La problématique de la santé mentale des étudiants est au coeur des préoccupations actuelles dans le champ de l’enseignement supérieur (quelles que soient les filières, longues ou courtes, d’enseignement supérieur), en raison notamment du nombre élevé de d’échecs ou de décrochages, de l’augmentation des symptômes anxieux et dépressifs, du burn-out ainsi que des consommations de substances psychoactives. Cette problématique s’est notablement accrue depuis la pandémie de Covid, qui a eu un rôle de révélateur et d’accélérateur.
A côté de l’ouvrage Développer la santé mentale des étudiants, des mêmes auteurs, à paraître dans la collection « Pratique en psychothérapie », centré sur la prise en charge immédiate et rapide du mal-être des étudiants et structuré autour des différents troubles, cet ouvrage développe davantage les données épidémiologiques, les causes et facteurs de risque des difficultés rencontrées par les étudiants dans leur parcours et présente les différentes techniques disponibles, pour les thérapeutes et tous ceux qui travaillent avec des étudiants, pour prévenir ou prendre charge ces troubles.
Le Pr Rebecca Bègue-Shankland, Professeure de psychologie du développement, Université Lyon
2 avec 9 autres auteurs publient une tribune dans Le Monde, 1er février 2022 sur « La méditation de pleine conscience est très loin des images ésotériques et des odeurs d’encens » en réponse aux critiques sur cette pratique. Les auteurs de la tribune affirment que « Il est scientifiquement prouvé que la méditation de pleine conscience, qui n’a rien de religieux, est source de bienfaits ».